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La médecine moderne a rompu un lien essentiel : celui entre le corps et l’âme. Ce divorce n’est pas une fatalité mais le fruit d’un système marchand, centré sur le produit plutôt que sur l’être. Le docteur Vincent Reliquet bouleverse cette logique en remettant au cœur du soin un élément aussi ancien qu’essentiel : l’iode. Ce n’est pas qu’un oligo-élément, c’est un symbole d’une médecine réenchantée, enracinée dans la nature et l’humanité. Dans un monde dominé par les logiques de profit, l’iode dérange. Elle soigne, mais ne rapporte rien. Elle renforce, mais échappe au brevet. Alors on la tait. Pourtant, ses bienfaits sont nombreux : soutien de la thyroïde, renforcement du système immunitaire, régulation hormonale. Cette molécule simple incarne une médecine qui soigne en profondeur, sans mutiler l’âme. En parallèle, l’Église, elle aussi, vacille. Vatican II a
