Bolloré ment sous serment, quand il a dit, hier à l’assemblée nationale, qu’il n’y avait pas de mineurs dans les plantations, dont il est le premier actionnaire au Cameroun. 8 ans après et malgré 5 procès sur 5 perdus contre Complement d’enquête, Vincent Bolloré continue de faire croire (sous serment, devant des députés), qu’il n’y avait pas de mineurs dans les plantations camerounaises dont il est 1er actionnaire. C’est faux. Dans son arrêt du 5 avril 2019, la Cour d’appel de Versailles a d’ailleurs reconnu que les « investigations (de complément d’enquête) ont démontré que des mineurs étaient effectivement employés dans la palmeraie ».
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