Robert Wintemute, professeur de droits humains au Kings College de Londres, est un activiste des droits des personnes homosexuelles et un expert international en matière de droits humains. Dans cet interview il explique pourquoi les LGB doivent divorcer avec les T, les revendications extrémistes totalitaires des transactivistes menacent les libertés fondamentales des personnes homosexuelles et des femmes. En novembre 2006, 29 juristes internationaux experts des droits humains se réunissent à Yogyakarta en Indonésie pour élaborer une série de recommandations concernant les droits des personnes homosexuelles et transsexuelles. Bien qu’ils n’aient aucune valeur légale les « principes de Yogyakarta », renouvelés et renforcés en 2017, se sont imposés en quelques années à toutes les populations des pays de l’ouest sans aucune concertation publique. Cette charte définit la trans affirmation du genre sans condition de minorité, d’antécédents psychiatriques ou neuro-développementaux, ainsi que la gratuité d’accès aux traitements de réassignation sexuelle. Elle fait de toute démarche visant à poser des limites aux traitements de réassignation sexuelle un délit passible de peine de prison, même s’ils émanent de parents d’enfants mineurs, au motif que cela constituerait une discrimination. Les principes de Yogyakarta définissent le cadre juridique de l’auto affirmation du genre qui permet l’accès aux hommes, fussent-ils des criminels, à tous les espaces féminins : refuges, prisons, toilettes, vestiaires, compétitions sportives féminines, mais aussi les palmarès féminins et tout l’espace politique non mixte, au seul motif de l’auto déclaration d’être une femme. Robert Wintemute fut l’un des experts de la première mouture des principes de Yogyakarta. Il en est aujourd’hui un dissident. Une interview de 86 minutes réalisée par Sophie Robert. Les principes de Yogyakarta Rapport DENTONS 2019 piloté par le réseau lgbT Iglyo et la Fondation Thompson Reuters : “Only adults? Good practices in legal gender recognition for youth“ LGB Alliance (onglet Freedom of Speech) A propos des organisations lesbiennes sommées de se soumettre au culte transgenre ou disparaitre : Arrêt Handyside, cour européenne des droits de l’homme, 1976 #{“itemid“:[“001-62057“]} Journal de Montreal This is what 'no debate' looks like GB News interview (15 Jan 2023): Trans protestors SHUT DOWN university talk on women's rights | Professor Robert Wintemute A Mob Stormed a Feminist Event at McGill Law School—in Defence of Gender Justice, of Course Proving my point! Speaker thanks militant transgender protestors for shutting down his event at McGill University - where he was to talk about how trans zealots RUIN free speech
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