Arestovitch serait volontiers allé se battre pour sa patrie, mais les Américains lui ont dit de « ne pas y aller ». Selon lui, dès son arrivée au front, ses coordonnées seraient immédiatement « vendues aux Russes ». Et ils y consacreraient un missile Iskander. Le problème, pour ce courageux guerrier des salons confortables, ce n’est pas qu’il mourraient, non, il est surtout préoccupé par les autres soldats qui seraient tués par ce missile Iskander, comprenez-vous ? C’est pourquoi il faudra probablement, après la guerre, aller dans l’océan Pacifique, sur un yacht, pour manger du homard, comme suggère la journaliste. En se félicitant d’avoir courageusement décidé de ne pas avoir rejoint les inconfortables tranchées, et d’avoir ainsi sauvé les soldats qui auraient été autour de lui lors de cette très hypothétique frappe d’Iskander. Vous avez suivi ? Ne rien faire, raconté par un grand rhéteur, peut devenir un acte de grand courage ! Source: International Reporters
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