A peine arrivé au pouvoir en 2007, Nicolas Sarkozy se montre très critique dans les médias qu’il assiège quotidiennement, envers la dictature de Vladimir Poutine, sur divers sujets comme l’assassinat d’une journaliste de l’opposition, le nettoyage des poches de terrorisme en Tchétchénie avec des centaines de morts, Nicolas Sarkozy s’imagine que du haut de son fauteuil de Président de la toute petite France avec seulement km², il peut faire la morale au nouveau Tsar russe, à la tête d’un pays de 17 millions de km². Lors d’un tête à tête en marge du sommet du G8 de la Grande Bretagne en 2007, le petit nerveux passe à l’offensive, il décide de lui répéter ce que son interlocuteur, ancien officier du KGB, grand sportif, premier de la classe contrairement à lui sait déjà, il l’écoute attentivement sans broncher puis lorsque le petit agité arrête de parler, Vladimir Poutine laisse passer un long temps de silence qui installe un malaise, en fait il est entrain de travailler psychologiquement son adversaire en grand champion de judo qu’il est, puis il demande avec un certain dédain « c’est bon tu as fini là » ? Nicolas Sarkozy qui est surpris par cette question balbutie un « euh oui », alors Vladimir Poutine passe à l’offensive à son tour lui donne un cour de géographie sur la petite taille de la France en comparaison avec la grande Russie, et lui dit d’un ton ferme « de deux choses l’une, si tu continues sur ce ton je t’écrase, ou alors tu arrêtes, tu viens de devenir Président de la France, je peux faire t de toi le maître de l’Europe », Nicolas Sarkozy est complètement mis KO. Le reste de conversation va tourner à l’humiliation totale, et lorsque Nicolas Sarkozy, pas encore remis revient en bégayant vers les journalistes, il est tellement sonné que certains se disent que la rencontre a du être arrosée de vodka, chose impossible puisque lui et Poutine ne boivent pas d’alcool.
Hide player controls
Hide resume playing