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Ces quoicoubeh deviennent fous cause des baskets de leur pote

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L’homo sapiens sapiens doit « vivre ensemble » avec l’homo wesh wesh. Les cris simiesques de ces quoicoubeh illustrent le cauchemar dystopique et dysgénique vers lequel on se dirige, un mélange sordide entre “La Planète des singes“ et “Idiocracy“. De toutes les catastrophes qui auront frappé l’humanité (tsunamis, tremblements de terre, cyclones, incendies, éruptions volcaniques, maladies, guerres, famines, etc.), la nuit raciale vers laquelle on se dirige, faute de réaction politique, risque d’être la plus catastrophique de toutes. Il est intéressant de noter qu’en kikongo (une langue bantoue parlée notamment au Congo), « quimpezé », à l’origine du mot « chimpanzé », signifie « faux homme ». C’est-à-dire qu’ils avaient noté une ressemblance et établi une hiérarchie sur une base discriminatoire. Par son égalitarisme forcené, établie comme religion moderne dans la “Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen“, la civilisation occidentale porte en elle les germes de sa propre destruction. La discrimination est un facteur d’évolution. Si vous ne discriminez pas les baies rouges toxiques des baies rouges comestibles, vous courrez un risque mortel. Pareillement pour les plantes ou les champignons, certain(e)s sont identiques en apparence, et pourtant les un(e)s sont comestibles et les autres sont mortel(le)s. Le diable se cache dans les détails. Comme le cafard, il est probable que l’homo wesh wesh ait une utilité dans l’écosystème, comme par exemple rappeler à l’humain les dangers de la paresse, de l’islam, du gauchisme, de l’idolâtrie, etc. On dit que « l’homme est un singe comme les autres », or, la matrice idéologique toraïque semble avoir œuvré pour essayer d’extirper le singe de l’homme afin de lui faire atteindre un stade supérieur. Le christianisme a poursuivi cet effort civilisationnel (tout en ayant en son sein un défaut structurel : l’universalisme, racine originelle du mal idéologique qu’est le gauchisme), mais l’islam, plus primaire et pragmatique, a plagié les religions monothéistes antérieures (hybridant le racisme juif et l’universalisme chrétien, créant une secte à la fois ouverte à tous et opposée de manière radicale aux non-membres : les « infidèles ») tout en sacralisant la bestialité (autorisation de la pédophilie, de l’esclavage, des violences conjugales faites aux femmes, du terrorisme, du pillage, etc., et 72 p… vierges qui les attendent au paradis en récompense pour avoir assassiné un innocent de sang-froid) pour participer à replonger la civilisation dans l’animalité. Pour ces idolâtres d’un bédouin pédophile, mythomane et criminel de l’Arabie du VIIe siècle, Dieu est un sadique omniscient qui décide plus ou moins arbitrairement du sort de l’humanité. On comprend dès lors pourquoi les pays musulmans, comme les pays subsahariens, sont des enfers desquels leurs habitants veulent s’extirper à tout prix pour aller vivre chez l’homme civilisé, tout en apportant avec eux les causes génétiques et idéologiques des dysfonctionnements de leurs nations d’origine, faisant ainsi s’effondrer leurs pays d’accueil dans un insupportable brouhaha simiesque. Au-delà des agressions physiques et sexuelles dont ils sont coutumiers, leur présence est aussi au quotidien une agression pour nos oreilles, pour nos yeux (que ce soit leur look immonde Lacoste Tn, leurs gueules patibulaires, leur orthographe : « les batard quetter comment ça dehek sur ça paire 🤣🤣🤣🤣🤣 », etc.), … Faire « vivre ensemble » des humains et des quoicoubeh, c’est-à-dire des individus civilisés avec des sauvages et des dégénérés, est une torture du quotidien pour les premiers, pour qui il s’agit plus de « subir avec » que de « vivre ensemble ». Mais pour les seconds, et ce grâce au sida mental qu’est le gauchisme, c’est une aubaine inespérée de vivre aux crochets de la société sans rien glander, de voler, de violer, de tuer, etc., sans conséquences à la hauteur de leurs actes délictueux et criminels, et dans le pire des cas, d’être nourris, logés, blanchis et chouchoutés en prison avant d’être réinsérés dans la société, le tout aux frais de leurs propres victimes.

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