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Nouba H'sin chantée par le maitre Cheikh Abdelkriim Dali accompagné par l'orchestre de la radio d'Alger les années 50. Au menu; touchia, m'çedder “Ya morsili“, derj “koulla youm bachayer“, insraf “ya layalin madat lana“, insraf djama'a “min nadmihi el mordjan“, mokhles. La mémoire de cette musique a, de cité à cité, de maître à maître, fait son chemin, portée comme un symbole, celui d’une culture, d’un art auquel les habitants sont restés très fidèles. Au delà des siècles, cette culture n’a cessé cependant de s’enrichir par des ajouts mais également de subir des altérations et des pertes irrémédiables dans ses traditions essentielles. Ville-matrice à de nombreux genres poético-musicaux d’une assise sociale plus étendue, comme composantes du patrimoine vernaculaire national, elle n’a certes, cessé de revendiquer une pl
