de Paris par le compositeur le 04/04/1859. Distribution et références en fin de vidéo. Meyerbeer, toujours perfectionniste et exigeant avec ses librettistes (épuisé, comme lui, Scribe ne survivra pas non plus à “L'Africaine“ et, après leur succès mitigé pour “L'Etoile du Nord“) fait appel pour son second opéra comique aux Barbier et Carré (qu'Offenbach appellera exceptionnellement aussi pour ses “Contes d'Hoffmann“ qui copiera de nombreuses phrases musicales de Dinorah après la mort de Meyerbeer qui se copie aussi lui-même en empruntant aux “Huguenots“ et duplique partiellement l'air de la folie de Lucia de Donizetti). L'acte I du “Pardon de Ploërmel“ (absent sur cette vidéo) est le seul vraiment comique, voire clownesque, admirablement joué par le ténor, et, selon moi, cet opéra inspirera toute l'oeuvre d'Offenbach.
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