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00:00 Il est bien difficile de situer le Timor Oriental sur une carte du monde. Coincé entre Bali et l’Australie, cette petite île tente de briser son isolement mais les ressources sont presque inexistantes. 03:23 Le Timor-Oriental possède un paysage digne d’une carte postale 04:45 Connus pour être très philosophe, les Timorais tentent toujours de voir le positif 06:11 le Timor est soumis à de nombreuses catastrophes naturelles 11:28 À cause de l’état des routes peu de camions tentent de rallier les villages isolés 14:55 Pour se protéger de la faune sauvage les Timorais comptent sur le « Roi des crocodiles » 18:40 Ancien souvenir de la colonisation portugaise, Jésus est partout dans la capitale 20:51 pour lutter contre la fatigue, ils consomment du bétel 22:28 Dès le début de leur périple, ils se retrouvent coincés dans d'immenses embouteillages 28:20 Pour aller à l’école, ils doivent parcourir des dizaines de kilomètres chaque jour 35:00 Rouler de nuit sur les routes abîmées n’est pas une très bonne idée, pourtant, ils n’ont souvent pas le choix 42:05 Au Timor, les paris et les combats de coqs sont monnaie courante. 46:33 Entre ces catastrophes le Timor-Oriental s’accroche à l’espoir d’une vie meilleure Seul l’agriculture et la pêche permettent aux habitants de gagner quelques dollars par mois. Aujourd’hui, l’île est toujours coupée en 2 avec une partie indonésienne et l’autre, le Timor Leste indépendant depuis 2002. Dans les villages les plus reculés, les habitants vivent coupés de tout. Seul solution, une piste rocailleuse souvent inondée pendant la saison des pluies et où la moindre erreur peut être fatal. Mais la survie est à ce prix et les paysans se lancent dans une longue odyssée pour vendre quelques légumes sur le marché de la capitale Dili. Après 10 heures de voyage, la récompense n’est pas toujours au rendez-vous et les désillusions sont nombreuses. Réalisateur : Guillaume Lhotellier
