Dans l’indifférence générale et la plus grande opacité, un nouveau round de négociations visant à finaliser l’accord de libre-échange UE-Mercosur se tient ces 7-9 octobre au Brésil. Que dit la France ? Que fait-elle pour bloquer cet accord ? Elle est bien silencieuse Cet accord nocif, négocié depuis plus de 25 ans, souvent présenté comme un accord viandes contre voitures, est dangereux pour les droits humains, les bons emplois ici et là-bas, le monde agricole, la biodiversité et la planète. En février dernier, E. Macron avait annoncé avoir stoppé les négociations. Celles-ci se poursuivent sur la base du mandat de négociations dont la Commission européenne dispose au nom des 27 États-membres de l’UE, dont la France. La Commission veut conclure cet accord au plus vite. Peut-être dès le prochain G20 qui se tient au Brésil (17-18 nov.) et envisage même de contourner le « veto » français. Le Collectif Stop CETA-Mercosur appelle à se remobiliser et tout mettre en oeuvre pour que ce projet d’accord soit abandonné. Lire cette note d’actualités de l'Aitec pour plus d'informations : Les trois exigences de la société civile envers la France : - clarifier publiquement et solennellement à nouveau la position FR - construire une minorité de blocage - exiger et obtenir un réexamen du mandat dont la Commission dispose. Pour nous soutenir : Pour vous informer et vous impliquer, vous pouvez : - vous inscrire par mail sur le site du collectif Stop CETA-Mercosur - suivre les comptes Twitter () et Facebook () du collectif, - vous inscrire sur ce canal Telegram ( aD5EtbLH0Bo4ZjQ0) d’information (peu de messages)
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