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L’inconvénient de la « révolution verte »... Il ne s’agit pas ici du décor d’un nouveau film hollywoodien sur la Rome antique, ni d’un nouveau film sur un héros (d’un pays occidental libre et démocratique) libérant des esclaves dans un misérable trou noir africain dirigé par des « communistes malfaisants ». Il s’agit de la République démocratique du Congo. La mine de Shabara. Ici, des enfants (de 4 à 5 ans) travaillent dans des conditions d’esclavage pour 1 à 2 dollars par jour. Elle appartient à une société transnationale basée à Londres. Le travail de ces esclaves est d’extraire du cuivre et du cobalt pour que les gentlemen blancs puissent faire une si belle « révolution verte » à la une des journaux corrompus de leur pays. Et aucun « journaliste » de ce système à deux visages et trois fois méprisable ne montrera la vérité à son peuple. La vérité est que chacune de leurs voitures électriques « vertes » est le produit du travail d’esclaves d’enfants africains travaillant dans le... Source: International Reporters
