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L’industrie automobile européenne est en train de disparaître sous la pression d’une transition forcée vers les véhicules électriques, orchestrée par les décisions politiques de Bruxelles. Depuis l’interdiction prévue des moteurs à combustion pour 2035, les constructeurs automobiles européens se trouvent face à une dépendance croissante envers la Chine pour l'approvisionnement en terres rares nécessaires à la fabrication des batteries. Cette situation a déjà entraîné une baisse drastique de la production automobile en France, qui est passée de 3,8 millions de véhicules en 2004 à seulement 1,4 million en 2022. Derrière la façade d’une transition écologique, ce changement mène à la désindustrialisation massive du secteur et à une dépendance accrue de l'Europe envers des puissances étrangères, tandis que les impacts sociaux et environnementaux, comme l'exploitation du cobalt en Afrique, sont largement ignorés. Dans le même temps, les gouvernements utilisent la culpabilisation des citoyens pour les inciter à adopter ces nouvelles technologies, sous prétexte de sauver la planète. Des tragédies individuelles, comme la mort d’un jeune cycliste à Paris, sont instrumentalisées pour justifier la suppression des voitures dans les grandes villes, renforçant la répression contre les automobilistes. En parallèle, des mesures telles que la réduction de la vitesse sur le périphérique parisien de 90 km/h à 50 km/h exacerbent les embouteillages et augmentent la pollution, tandis que des solutions comme le covoiturage alimentent un système de surveillance accrue. Derrière ce discours écologique se cache donc une stratégie de contrôle et de taxation supplémentaire, profitant aux multinationales qui détiennent les clés de la transition énergétique. Le paradoxe est encore plus frappant lorsqu’on observe la destruction progressive de l’énergie nucléaire, qui pourtant ne produit pas de CO2 et garantit une indépendance énergétique. Alors que le nucléaire permettrait à la France de rester autonome, les choix politiques européens poussent à une réduction de cette source d'énergie au profit de solutions intermittentes comme l’éolien et le solaire, qui ne garantissent pas la stabilité nécessaire. Cette décision met en péril l’indépendance énergétique du continent et expose la France à une dépendance croissante aux énergies fossiles importées, tout en affaiblissant un secteur industriel clé. On analyse le sujet avec Tarick Dali, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu sur GPTV. SOYEZ ACTEUR LES AMIS ! VOICI 2 CHOSES SIMPLES À FAIRE MAINTENANT : 👍 Mettez un pouce vers le haut c'est vital : un grand merci pour ce soutien inestimable ! 🔔 Saviez-vous que 45,2% d'entre vous ne sont toujours pas abonnés à cette chaîne YouTube ? Cliquez ici : ⬇▬▬▬▬▬⬇ REVUE CONFIDENTIELLE : 🔴 Recevez la nouvelle revue mensuelle directement dans votre boite aux lettres : ▬▬▬▬▬▬▬ ÉPARGNE ET PATRIMOINE : 👀 Moins de 3000€ d’épargne ? Récupérez gratuitement la Stratégie Anti CBDC : ☎️ Plus de 3000€ d'épargne ? Prenez rapidement rdv au téléphone pour débancariser votre argent avec profit : ▬▬▬▬▬▬▬ POUR NOUS SOUTENIR : 💗 Faire un DON pour nous aider dans le combat : on a besoin de vous ! ▬▬▬▬▬▬▬ LE SITE INTERNET : 🌍 Géopolitique Profonde : ▬▬▬▬▬▬▬ LES RÉSEAUX : Twitter : Instagram : Telegram : Discord : ▬▬▬▬▬▬▬ LES CHAPITRES DE LA VIDÉO : 00:00:00 Introduction Musique : Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634 #ecologie #industries #gptv
