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Dans cette vidéo, Magelya s'exprime avec colère et indignation face à des propos qui semblent minimiser la gravité d'un viol en fonction de l'intention ou de la conscience du violeur au moment de l'acte. Elle réagit à l'idée que le viol ne serait considéré comme tel que si l'agresseur était conscient qu'il commettait un acte non consenti. Pour elle, ce type d'argument est absurde et inacceptable, car il semble chercher à excuser des comportements criminels en invoquant l'ignorance ou une supposée incompréhension du consentement. Magelya décrit un exemple où des hommes violent une femme qui est inconsciente, voire dans le coma, en insistant sur le fait qu'il est impossible de ne pas comprendre que l'acte est non consenti dans une telle situation. Elle dénonce ces arguments de défense comme des tentatives pour légitimer des comportements inqualifiables et blâme la société pour chercher des excuses à ce qu'elle considère être des actes de « pure violence ». Elle critique aussi la réponse médiatique et judiciaire envers les violeurs et exprime sa frustration face au système qui, selon elle, permet encore à ces « ordures » de se justifier. Magelya exprime un vif souhait que ces agresseurs reçoivent des peines sévères et fait valoir que la situation est une insulte à la victime, en l'occurrence Giselle Pelico. Elle condamne fermement ces individus, les qualifiant de “violeurs“ et de “mangeurs d'enfants“ (probablement en référence à la possession de contenus pédopornographiques mentionnés dans la vidéo). Citations Marquantes : Magelya : “À partir du moment où on arrive à rapporter la preuve que la personne qui a commis les actes de viol avait conscience de commettre des actes de viol, il y a viol ; sinon, il n'y a pas viol.“ Magelya : “Si tu continues à faire ton affaire sur une femme qui est complètement endormie et à aucun moment tu te dis que ce n'est pas normal, tu es un violeur.“ Magelya : “Tous ces hommes sont des violeurs qui savaient parfaitement ce qu'ils faisaient.“ Magelya : “Quand j'entends ça, je te jure, si ça ne tenait qu'à moi, je remettrais la peine de mort pour ce genre d'ordures.“ #mazan #ViolenceSexuelle #JusticePourLesVictimes #StopViol #Consentement #ColèreContreLInjustice #af2ci
