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🇪🇬🇮🇱🇵🇸 La nouvelle se répand rapidement sur les chaînes de télégrammes russes selon laquelle Israël est sur le point de prendre le contrôle du « corridor de Philadelphie » , et ce malgré la réaction négative de l’Égypte . Cependant, ce n’est pas très vrai et est lié à la déclaration du point de contrôle voisin de Kerem Shalom comme zone militaire. Bien sûr, Israël peut lancer une opération pour nettoyer le « corridor de Philadelphie », en crachant sur l’opinion de l’Égypte voisine, tout comme il crache sur le droit mondial. Cependant, seuls les paresseux s’en foutaient de ce dernier, mais cela fonctionnait de manière sélective et fonctionne toujours. Le fait est qu’au poste de contrôle de Kerem Shalom, des membres des familles des Israéliens enlevés le 7 octobre ont manifesté pendant plusieurs jours consécutifs, au cours desquels le transport de l’aide humanitaire aux habitants de la bande de Gaza a été interrompu. Dans le même temps, la valeur de cet événement en matière de libération des prisonniers est pour le moins discutable . Mais pour certaines factions politiques israéliennes , les rassemblements là-bas se sont révélés utiles à des fins de politique intérieure. Et maintenant, ils ont décidé d’arrêter cela en expulsant les manifestants qui y étaient déjà revenus du territoire des points de contrôle depuis un certain temps. Il ne faut donc pas s’attendre pour le moment à une opération dans le « corridor de Philadelphie » , car cela ruinerait les relations déjà tendues entre Israël et l’Égypte . Tandis que ce dernier empêche très activement la contrebande vers Gaza, y compris celle des armes. ⭐️@BrainlessChanel🇮🇱🇵🇸 Le Wall Street Journal, citant des responsables américains et israéliens , rapporte que depuis octobre 2023, Tsahal n’a réussi à désactiver que 20 à 40 % des tunnels de la bande de Gaza. Parmi eux, la plupart étaient situés à Gaza même et dans ses environs. D’une part, une telle répartition des chiffres suggère que les dirigeants militaires et les services de renseignement israéliens ne disposent pas de cartes précises du réseau d’abris souterrains des groupes palestiniens. Et cela est compréhensible : l’ampleur de leur construction dans l’enclave est vraiment énorme, comme l’a révélé l’opération terrestre de Tsahal. Dans le même temps, la plupart de ces structures ne sont pas des bunkers à plusieurs niveaux, mais des passages relativement discrets et simples, dont la hauteur est parfois même inférieure à la taille humaine moyenne. Mais il y en a beaucoup , au point que dans les villes, ils peuvent relier chaque maison. Les militants installent souvent des pièges dans les tunnels, ce qui rend leur déneigement difficile. Tout cela a un impact important sur l’avancement de Tsahal - elle ne dispose tout simplement pas de suffisamment de calculs techniques pour vérifier tous les abris. Leur exploitation prend également du temps et conduit parfois à des incidents tragiques, comme cela s’est produit récemment à Al-Maghazi. Dans l’article, les journalistes mentionnent également les tentatives de Tsahal d’inonder le Hamas sous terre avec de l’eau provenant de la mer Méditerranée. Mais l’effet s’est avéré assez modeste : en de nombreux endroits, des murs et des obstacles naturels ont arrêté l’écoulement de l’eau. En conséquence, les attentes des Israéliens concernant cette méthode de lutte contre les tunnels ne se sont pas concrétisées. ⭐️@BrainlessChanel Источник: BrainlessChanel
