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@ Lors de son passage en France en juin 2024, Jah Light rencontre Winston McAnuff, présent à Paris pour plusieurs dates. À cette occasion, ils échangent avec Sergent Tchatcho, l’hôte de Winston, et parlent notamment de leur enfance en Côte d’Ivoire. Alors que Sergent Tchatcho taquinait Jah Light, Winston le reprend par une de ces expressions bien senties donc les jamaïcains ont le secret : « don’t put Jah light in the dark ! » Il n’en faut pas plus pour réveiller l’inspiration de Jah Light, qui attrape sa guitare et commence à fredonner. Winston McAnuff le rejoint dans une jam session improvisée, sans savoir qu’ils viennent de donner naissance à leur prochain single. . Le mois suivant, Winston McAnuff est de passage à Abidjan pour un concert exceptionnel à AZK Live, fief de Jah Light. Les deux artistes se retrouvent et Jah Light invite Winston en studio pour enregistrer ce titre né à Paris. Ils convient aussi Asko Dibanko, alors tour manager sur le show de Winston, qui apporte une couleur supplémentaire avec son énergie et ses mélodies en français. 3 artistes, 2 générations et 2 terres de reggae combinées pour un appel à laisser les enfants de Jah demeurer dans la lumière : « Don’t Put Jah Light In The Dark » est né ! Production : AZK Productions Composition et arrangements : Jah Light, Pascal Amani, Georges Kouakou Enregistrement mixage et mastering : Jim Fox à Lion & Fox Studios USA Artwork et vidéoclip : Matthieu Planchais Photo et vidéo : Noël Stéphane Konan Henri Basse et batterie : Isaac Kwesi Kouao / Claviers : George Kouakou / Guitares : Ricky Swann Richardson / Trompette : Zack Smith / Trombone : Dan Haverstock / Saxophone : Bruce Swain / Voix lead : Jah Light, Winston McAnuff, Asko Dibanko /
