Chanson enregistrée par Dalida en 1964 pour une surprise à Charles Aznavour qui n'eut jamais lieu. Réorchestrée et publiée pour la première fois, à titre posthume, dans l'album de remixes “À ma manière...“ paru en 1996. 🎯 La chanson sera incluse dans plusieurs album de la chanteuse, parmi eux dans le coffret “Les diamants sont éternels“ de 2012. 🎻 Texte de la chanson: Ils sont venus, ils sont tous là dès qu'ils ont entendus ce cri Elle va mourir, la mamma Ils sont venus, ils sont tous là, même ceux du sud de l'Italie y a même Giorgio le fils maudit, avec des présents pleins les bras Tous les enfants jouent en silence, autour du lit sur le carreau Mais leurs jeux n'ont pas d'importances, c'est un peu leur dernier cadeaux à la mamma. On la réchauffe de baisers, on lui remonte ses oreillers Elle va mourir la mamma Sainte Marie pleine de glace, dont la statue est sur la place Bien sûr, vous lui tendez les bras en lui chantant Ave Maria Ave Maria Y a tant d'amours, de souvenirs, autour de toi, toi la mamma Y a tant de larmes et de sourires, à travers toi, toi la mamma Et tous les hommes ont eu si chaud, sur les chemins de grand soleil Elle va mourir la mamma Il boivent frais le vin nouveau, le bon vin de la bonne treille Tandis que s'entassent pèle mêle, sur les bancs foulards et chapeaux C'est drôle on ne sens pas triste, près du grand lit de l'affection Y a même un oncle guitariste qui joue en faisant attention à la mamma ~ Musique ~ Et les femmes se souvenant, des chansons tristes des veillées Elle va mourir la mamma Tout doucement les yeux fermés, chante comme on berce un enfant Après une bonne journée, pour qu'il sourit en s'endormant Ave Maria Y a tant d'amours, de souvenirs, autour de toi, toi la mamma Y a tant de larmes et de sourires, à travers toi, toi la mamma Que jamais, jamais, jamais… Tu nous quitteras!
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