Déclaration du ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Maliki : « Je me tiens devant vous alors que 2,3 millions de Palestiniens à Gaza, dont la moitié sont des enfants, sont assiégés et bombardés, tués et mutilés, affamés et déplacés. » « Alors que plus de 3,5 millions de Palestiniens en Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, sont soumis à la colonisation de leur territoire et à la violence raciste qui la rend possible. » « Tout comme 1,7 million de Palestiniens en Israël sont traités comme des citoyens de seconde zone… sur leur terre ancestrale. » « Alors que sept millions de réfugiés palestiniens continuent de se voir refuser le droit de retourner dans leurs terres et leurs foyers. » « La Palestine n’était pas un pays sans peuple. Il y avait de la vie sur cette terre, politique, culturelle, sociale et religieuse. Il y avait des écoles, des universités, des cinémas, des familles et des communautés dont la vie était marquée par une promesse faite à des milliers de kilomètres il y a plus de cent ans. Une violation de la confiance sacrée qui a relégué les peuples autochtones du pays au statut de communautés non juives. Selon (le peuple palestinien), seuls les droits civils et religieux, niant son existence en tant que peuple et ses droits en tant que nation. L’ONU a inscrit dans sa charte le droit de tous les peuples à l’autodétermination et s’engage à débarrasser le monde du colonialisme et de l’apartheid. Pourtant, depuis des décennies, les Palestiniens se voient refuser ce droit. « En Palestine, vous pouvez passer toute votre vie en tant que réfugié et être privé de votre dignité et de votre vie. » « Le génocide en cours à Gaza est le résultat de décennies d’impunité et d’inaction. « Mettre fin à l’impunité d’Israël est une obligation morale, politique et juridique. »
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