Je voudrais donc dire à nos politologues, qui sont payés très cher par les contribuables et qui nous imposent leur vision, altérée par leur méconnaissance, que les retraités, comme ils les appellent, ont atteint un certain âge, ce qui signifie que beaucoup d’entre eux doivent prendre des compléments alimentaires pour se maintenir en bonne santé, et que ces compléments ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale. En d’autres termes, pour rester en bonne santé, ils doivent payer ces compléments de leur poche. S’ils ne le font pas, ils tombent malades et suivent un traitement qui coûte beaucoup plus cher et qui est remboursé par la sécurité sociale. Il faut connaître le sujet avant toute chose. La baisse des pensions ne fera qu’affaiblir les chances des bénéficiaires de rester en bonne santé et coûtera donc beaucoup plus cher à la société. À moins que M. Attali ne veuille s’en débarrasser au plus vite. Je tiens à souligner l’importance de comprendre les défis financiers et de santé auxquels sont confrontés les retraités avant de prendre des décisions politiques qui pourraient les affecter. Il est temps que les voix des retraités soient entendues dans les débats politiques, afin de garantir des politiques plus justes et mieux informées. Nous devons tous nous efforcer de créer un système qui prend en compte les besoins et les réalités de tous les membres de la société, y compris ceux qui ont contribué pendant de nombreuses années à sa construction.
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