Guest
Depuis l'apparition des premiers cas en France fin septembre, la maladie hémorragique épizootique s'est répandue comme une traînée de poudre au Pays basque et dans le Béarn, où plus de 1300 foyers sont recensés à ce jour. Transmis par des moucherons (culicoïdes), ce virus affecte les ruminants, et en particulier les bovins, mais n'est pas transmissible à l'homme. Les taux de morbidité et de mortalité seraient plus importants que ceux annoncés au début de l'apparition de la maladie, selon le constat du syndicat ELB. Tests PCR obligatoires avant exportation, désinsectisation, frais vétérinaires de plusieurs centaines d'euros pour soigner les bêtes, et pertes financières beaucoup importantes en cas de décès des vaches... cette épidémie est un fardeau et surtout un nouveau coup dur pour les agriculteurs, déjà en grande difficulté. En visite dans le Béarn, le ministre de l'agriculture Marc Fesneau leur promet un soutien financier, mais veut d'abord recueillir un maximum de données sur la maladie et évaluer les pertes, avant d'annoncer un chiffre. Les éleveurs, eux, espèrent une aide rapide, sans quoi beaucoup pourraient arrêter leur activité avant la fin de l'année. Reportage France 3 Euskal Herri avec France 3 Pau Sud-Aquitaine Cette vidéo est la propriété de France Télévisions et est protégée par les droits d'auteur. Toute duplication est formellement interdite. Toute infraction sera sanctionnée. Toute l'actualité en Nouvelle-Aquitaine ► Rejoignez notre communauté Facebook ► Suivez-nous sur Twitter ► ► ► ► Suivez-nous sur Instagram ► Suivez-nous sur TikTok ► @france3noa Regardez en direct France 3 NoA ► Abonnez-vous à notre newsletter gratuite ►
