Les anciens enfants placés devraient porter plainte contre les services de l'ASE pour les injustices subies et leur situation actuelle précaire. Malheureusement, ils manquent souvent des ressources nécessaires pour le faire. Environ 70% de ces anciens pensionnaires n'ont pas de diplôme ni de qualification, et 40% d'entre eux finissent soit en institutions psychiatriques, soit sans domicile fixe. Les grandes associations qui prétendent défendre les droits des enfants devraient normalement agir dans ce sens. Cependant, ces associations sont souvent plus préoccupées par leur image médiatique et leur financement que par les véritables besoins des enfants placés. Elles sont devenues des sortes de vitrines pour des avocats de « lux », rendant difficile l'accès à la justice pour les enfants placés. Au lieu de véritablement soutenir ces enfants, ces associations se concentrent principalement sur la collecte de fonds et de subventions, ce qui ne résout pas les problèmes fondamentaux auxquels sont confrontés les enfants placés. YouTube: Twitter: Pétition : Facebook:
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