Le croissant de lune s’est coloré de pourpre, Là-bas où les vagues grondent près des rochers. - Allons nous promener, beauté, Cela fait longtemps que je t’attendais. - Allons nous promener, beauté, Cela fait longtemps que je t’attendais. - Je vais avec toi, volontiers, J’aime les vagues marines. Donne à la voile toute sa liberté, Moi, je tiendrai la gouverne. -Tu mènes la barque vers le large, Où nous ne saurons affronter la tempête. Par un temps aussi insensé, Il ne faut pas faire confiance aux vagues. - Il ne le faut pas ? Pourquoi donc, mon cher ? Mais dans un lointain et amère passé, Te rappelles-tu, traitre perfide, Comme, confiance, je te faisais ? - Un jour, tu m’as trompé, Aujourd’hui je t’ai baladée. Tu ressens ta perte, misérable ! Comme un lâche, Tu as pâli, tu trembles. Toute la nuit, la mer s’est déchainée L'onde marine bouillonnait. Et au matin, se balançaient sur les vagues, Les débris de cette barque. Et au matin, se balançaient sur les vagues, Les débris de cette barque. Traduction : Sarah P. Struve
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