La France a fortement réagi face à l’arrestation du Président et du Premier ministre maliens le 24 mai, le second coup d’État militaire dans le pays en moins d’un an. Emmanuel Macron a affirmé qu’il ne « resterait pas aux côtés d'un pays où il n'y a plus de légitimité démocratique ni de transition ». Le Président français menaçant également de retirer les troupes françaises si le Mali allait «dans le sens» d'un islamisme radical. Ce putsch militaire est-il un prétexte idéal pour le retrait de la force Barkhane ? Nicolas Normand, ancien ambassadeur de France au Mali, répond aux questions de Sputnik. Retrouvez toute l’actualité, les reportages, les analyses et les chroniques sur notre site :
Hide player controls
Hide resume playing