“Bienvenue à Pédoland“ Aux origines du charnier d'enfant “De sales petits secrets“: où règne en maître le couple infernal de la pédérastie, voici donc encore quelques exemple des origines de la pédérastie : petites et grandes histoires ... Des abus sexuels sur des nourrissons à l'hôpital André Grégoire de Montreuil 93 : La jeune femme s’accusant d’attouchements sur des nourrissons à l’hôpital de Montreuil (Seine-Saint-Denis) et son compagnon ont été mis en examen ce samedi. Montreuil, le 1er août 2025. L'infirmière de 26 ans travaillant à l'hôpital André Grégoire a été déférée au parquet, tout comme son compagnon. Les investigations se poursuivent ce samedi dans l’affaire des violences et abus sexuels présumés sur des bébés à l’hôpital André Grégoire de Montreuil (Seine-Saint-Denis) Alors que des vidéos circulaient depuis ce mardi soir sur les réseaux sociaux concernant des attouchements commis par un couple à la maternité, une jeune femme de 26 ans se présentant comme infirmière s’est rendue au commissariat de Clichy-Montfermeil, mercredi soir, afin de se dénoncer. Elle a été mise en examen ce samedi pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans. Son compagnon, tout comme elle, l’est lui aussi pour complicité d’agression sexuelle, détention, captation et transmissions d’images à caractère pédopornographiques. Où en est l’enquête ? Une enquête avait été ouverte jeudi par les policiers après les aveux de la jeune femme, qui aurait indiqué avoir filmé les attouchements pour les envoyer à son conjoint également placé en garde à vue, jeudi midi. Elle aurait indiqué aux enquêteurs se trouver dans une situation d’emprise vis-à-vis de cet homme. Le couple aurait échangé des images des abus qui auraient fuité sur les réseaux sociaux. Ce samedi matin, le parquet de Bobigny indiquait au Parisien que les deux suspects avaient été déférés à l’issue de leur garde à vue. Ils ont été présentés à un juge d’instruction ce samedi et elle a été mise en examen pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans. Son compagnon l’est lui aussi pour complicité d’agression sexuelle, détention, captation et transmissions d’images à caractère pédopornographiques. Ils ont été remis en liberté, sous contrôle judiciaire. Ils sont interdits d’entrer en contact l’un avec l’autre, de pénétrer à l’hôpital et d’exercer un métier en lien avec des mineurs. L’enquête se poursuit. Le parquet précise également avoir ouvert une information judiciaire. Que sait-on des deux auteurs présumés ? Peu d’éléments ont pour l’heure filtré sur le profil des deux auteurs présumés de ces abus. Devant les policiers du commissariat de Clichy-Montfermeil, la jeune femme s’est présentée comme une infirmière travaillant à la maternité l’hôpital André Grégoire de Montreuil. Face aux nombreuses rumeurs qui ont circulé pendant 48 heures, la direction du groupement hospitalier de territoire (GHT) Grand Paris Nord-Est — qui regroupe l’hôpital André Grégoire, l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois et celui du Raincy-Montfermeil — a dans un premier temps assuré dans un communiqué qu’aucune des deux personnes mises en cause sur les réseaux sociaux, et notamment une certaine Leïla - présentée à tort par certains internautes comme étant la fameuse infirmière -, ne travaillait dans l’un des trois hôpitaux. Puis « après vérifications », le GHT a fait savoir dans un second communiqué, publié vendredi en fin d’après-midi, que l’infirmière placée en garde à vue exerçait bien à l’hôpital de Montreuil, mais « exclusivement dans le service de réanimation néonatale », et non pas à la maternité. Quant à son compagnon, Redouane E., il ne travaille pas à l’hôpital de Montreuil. L’infirmière suspendue à titre conservatoire « Les agissements de cette infirmière, s’ils sont confirmés par l’enquête de police en cours, sont une grave dérive personnelle que l’hôpital condamne fermement, poursuit le GHT dans son communiqué. Ils ne sont en aucun cas une pratique collective de service ». La direction de l’établissement indiquait que l’infirmière avait été suspendue à titre conservatoire en attendant les conclusions de l’enquête. L’hôpital a également précisé qu’il se « constituerait partie civile dans le cadre des poursuites judiciaires à venir ».
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