« Visionnaires de tous les siècles, rassemblez-vous ! ». Si Lewis Carroll rencontrait Mozart. Si une sorcière croisait un aveugle prophète ou un vieux moine. Si Merlin l’enchanteur, la Reine de la nuit, Tristan et Isolde dialoguaient à distance dans un bouleversant rituel de mort. Kopernikus, opéra tout entier placé sous le signe du feu et de l’eau, est de ce genre, merveilleux.
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