France. 2011. 1h01. VOST “La production de biens culturels était basée sur le principe de rareté. A l'heure du numérique, avec la facilité de duplication, se dessine une autre façon d'appréhender la culture. Il est dommage de considérer le numérique comme un désastre culturel. La créativité n'a jamais été aussi riche et aussi facilement diffusable que maintenant. Arc-boutées sur un modèle inadapté, les industries du divertissement tentent de stigmatiser les usages nouveaux. Autrefois réservés aux revendeurs indélicats, les mots “voleur“, “pirate“, “contrefacteur“, ... servent maintenant à désigner leur propre public. Le financement de la culture s'appuie majoritairement sur le droit d'auteur et sur l'incongrue “propriété intellectuelle“. Il serait plus intéressant de chercher de nouveaux modèles de
Hide player controls
Hide resume playing