Depuis plusieurs années, une figure scientifique dérange le paysage médical français : Jean-Bernard Fourtillan. Spécialiste en pharmacologie, il n’a pas été écarté pour des erreurs, mais pour des découvertes. Ses recherches sur la valentonine, une molécule naturelle impliquée dans la régulation des cycles biologiques, promettaient un bouleversement thérapeutique majeur. Là où les traitements classiques entretiennent la dépendance, il proposait une alternative naturelle, stable, non brevetée. Autrement dit : une menace directe pour les intérêts de l’industrie pharmaceutique. Face à cette rupture potentielle, la réponse n’a pas été scientifique, mais sécuritaire. Internement d’office, discrédit médiatique, suppression de ses travaux. L’université s’est tue, les institutions ont validé, les médias ont suivi. Aucun débat public, aucune contre-expertise,
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