«Si je pouvais revenir en arrière, je n’irais pas me battre» C’est ce qu’a déclaré à Radio-Canada un militaire ukrainien qui a préféré garder l’anonymat «de peur d’aggraver sa situation». Il y a quelque mois, lui et ses 15 camarades ont refusé d’obéir à un ordre pour partir en mission qu’ils ont jugé «suicidaire», car ils n’avaient ni armes ni entraînement approprié. «Il y a beaucoup de comandants qui ne pensent pas à la sécurité du personnel. Ils ne se soucient que des échelons sur leurs épaules et cherchent à faire plus d’argent avec cette guerre», a-t-il raconté. Le média montre également un chauffeur de taxi qui souffre des conséquences d’une opération au dos et un homme qui souffre de troubles d’anxiété. Les deux ont reçu des convocations et risquent la prison s’ils ne se présentent pas dans les bureaux de recrutement de l’armée. «Personne n’écoute, ils disent qu’ils n’ont plus personne à recruter, qu’ils ont besoin de gens, c’est tout», explique l’un d’eux. Источник: Chroniques des conflits mondiaux
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