Sur l’air de « Il suffirait de presque rien » que chantait Serge Reggiani, j’ai écrit « Il a suffi de presque rien ». Un robinet fermé par Poutine, quelques degrés en plus au thermomètre suffisent à dérégler les existences de millards d’humains et de vivants. Mais pour remédier à ces changements, petits en apparence, ma conclusion dit qu’il faudra plus que presque rien, car leur cause, d’origine humaine, nécessite de vrais bouleversements dans nos modes de pensée et de vie. Il ne suffira pas d'arborer une doudoune ou un col roulé ! Bonne écoute.
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