Communiqué de presse - Paris, 24 août 2021. Plainte contre M. Philippe de Nicolaÿ-Rothschild pour viols avec administration d’une substance altérant le discernement. Le 22 mars dernier, l’avocat d’une femme de 48 ans transmettait à Mme Sabine Kheris, doyen des juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Paris, une plainte avec constitution de partie civile contre un certain Philippe de Nicolaÿ-Rothschild, pour plusieurs faits de viols advenus après la prise forcée d’une drogue provoquant l’endormissement. L’écoute du récit détaillé exposé dans cette plainte dont nous avons eu connaissance stimule immédiatement l’envie d’en écrire un surprenant roman de mœurs. Qu’aurait donc commis cet ancien banquier international, membre à l’époque des faits du Conseil de Surveillance de la Banque Paris-Orléans (devenue en 2015 Rothschild and Co), désormais expatrié au Brésil où il dirige une société de vente de vins, qui se retrouve aujourd’hui publiquement accusé de viol aggravé par une plaignante défendue par un avocat qui semble très déterminé à obtenir une instruction sérieuse de cette affaire ? Étrange personnage, qui est tout de même demi-frère d’Édouard et de David de Rothschild… Selon le récit très circonstanciée de la plaignante, celle-ci aurait été victime de plusieurs viols commis rue du Banquier ( ! ) à Paris en 2009 alors même qu’elle était endormie après avoir été forcée d’inhaler un sachet de poudre, étouffée main sur le nez et la bouche par l’homme en question. En prime, la négation de toute responsabilité de l’homme mis en accusation, hormis quelques virements bancaires d’achat du silence. Et un cauchemar pour la mère, depuis plus de dix ans. Une première plainte sera déposée en 2016, auprès du Procureur de Paris, qui fera auditionner en avril 2019 cette femme dont nous tairons le nom pour le moment. Le lendemain de l’audition, les gendarmes lui enlèvent ses deux fils et le parquet de Perpignan oublie de faire parvenir l’audition à Paris, où le dossier restait encore ouvert en ce début d’année 2021… Aujourd’hui, cette femme affirme sa totale détermination à faire éclater la vérité des faits de viols qu’elle a subis et des faits récurrents de maltraitances socio-judiciaires manifestes qu’elle continue de subir. Son avocat est Maître Maxime Delacarte. Courriel : md@ - Tél. : 06 61 15 85 17 Celui-ci se tient à la disposition de la presse qui souhaiterait mieux connaître cette affaire si révélatrice des mœurs parisiennes de certains mâles richissimes qui achètent les femmes comme ils achètent leurs chevaux en traitant celles-là bien plus mal que ceux-ci.
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