AGRICULTURE : VENTE DIRECTE. C'est un reportage qui date de 2019, nous ne savons pas si le couple continue mais...

AGRICULTURE : VENTE DIRECTE. C’est un reportage qui date de 2019, nous ne savons pas si le couple continue mais... On peut voir qu’ils ne sont pas aidés par l’État, service vétérinaire, financements difficile à trouver, bref, même pour ceux qui désirent s’en sortir c’est compliqué ! ➡🇫🇷 VIDÉO : “Du lait entier, non pasteurisé, à 80 cts le litre, c’est ce que proposent Laurie et Didier Lepezel 4 fois par semaine sur les marchés de Moselle. Ce couple s’est tourné vers la vente directe pour faire face à la crise qui les a fortement touchés en 2016. ’’Les industriels ne nous payent quasiment plus, donc il faut trouver quelque chose...’’ C’est ainsi que le couple a investi dans une camionnette équipée d’une citerne réfrigérée de 300 litres. Après avoir obtenu l’accord des services vétérinaires, Ils se sont lancés sur les marchés, d’abord en Meuse, et depuis un an en Moselle, où les clients sont au rendez-vous... ’’En fait, en supermarché, il est toujours pasteurisé, micro-filtré, vous avez des pasteurisations qui détruisent tout ce qu’il y a dans le lait, donc ici, on n’a pas ce problème...’’ À ce jour, 12% de la production laitière des Lepezel est vendue directement sur les marchés, un débouché qui rapporte l’équivalent d’un SMIC... Un effet positif sur le moral du couple... ’’Avant de reprendre la ferme de mes parents, moi j’étais mécanicien, j’ai repris la ferme...’’ Avec 1000 litres de lait vendu chaque semaine sur les marchés, le couple pourrait investir dans une citerne plus grande. Mais ils peinent à trouver des financements...’’