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Touche pas notre eau de pluie ! L'autonomie en sursis

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« Pierre L’écoleau » (PERPERUNA®) et Benjamin Vialan (J’autonomise) nous apportent des nouvelles de leur action collective et un éclairage sur l’évolution réglementaire en cours au sujet des « Eaux Non Conventionnelles ». Ils nous présentent également un récapitulatif des remarques et propositions de corrections qu’ils vont présenter aux Ministères pour la consultation publique en cours concernant les 2 projets de décret et arrêté relatifs aux usages domestiques des EICH, ces 2 textes qui nous concerne tous. Pour suivre l'avancement de nos actions : Ils nous expliquent aussi la première victoire importante qui se profile concernant leur opération « Touchez pas à notre eau de pluie » ! En effet, cette action n’aura pas été vaine, puisque des rectifications importantes sont déjà opérées sur les points qu’ils dénonçaient dans l’écriture du 1 er décret publié le 30 août. Action nationale qui a aussi occasionné quelques remous, notamment dans certaines Presses, sur qui ils remettent un peu les points sur les i suite à une honteuse campagne médiatique de dénigrement de leur action ! Pour retrouver Pierre l'Ecoleau : Pour retrouver Benjamin Vialan : SOMMAIRE : 00:00 Introduction 06:55 Que va dire l'arrêté en détail ? 47:35 Où est passé l'argent de la cagnotte de la première vidéo ? Quelles sont les actions menées ? 56:17 Les médias dénigrent notre travail et nous répondons à leur accusations   Eaux naturelles DIFFÉRENTES des eaux de réutilisation  Il est important de préciser à l’article R. 1322-87-I, afin de couper court à de multiples confusions habituelles, que les eaux « naturelles » rendues potables (pluie, douces, puits et forage) ne sont pas  concernées par ce décret, en considération de tous les bâtiments en site isolé non raccordés à l’adduction publique !   Il est nécessaire de distinguer à l’article R. 1322-89-I-1°, les 2 catégories de types d’eau au sein des eaux impropres à la consommation humaine, à savoir - Eaux naturelles : les eaux de pluie, les eaux douces (prélèvements en milieu naturel superficiel ou souterrain) et les eaux de puits et forage - Eaux de réutilisation : les eaux grises (hormis cuisine) et les eaux de piscine après usage initial Pour les raisons suivantes : - Les eaux naturelles sont utilisées en premier usage, contrairement aux eaux grises et de piscine - Ces 2 catégories d’eaux n’ont pas du tout les mêmes qualités au moment de leur récupération - Ces 2 catégories d’eaux n’ont pas du tout les mêmes exigences de traitement avant usage pour être à un niveau de qualité acceptable - Ces 2 catégories d’eaux n’ont pas du tout les mêmes facilités d’exploitation au sein d’immeubles existants - Ces 2 catégories d’eaux ne s’adressent pas forcément aux mêmes types d’usagers - Ces 2 catégories d’eaux ne doivent pas avoir le même destinataire de déclaration en vertu de ces différences et des textes réglementaires déjà existants, donc :  eaux naturelles = déclaration en mairie, eaux de réutilisation = déclaration en préfecture   Nous demandons d’autoriser en usage privé familial l’utilisation d’eaux naturelles pour les laves linges sans cadre expérimental et hors critères qualité d’eau applicable, sous condition d’un traitement préalable minimum par filtration sédimentaire 25 micron maximum et d’un traitement au charbon actif granulé. Depuis l’arrêté de 2008, la notion de cadre expérimental et traitement adapté pour l’usage lave-linge, n’a jamais été définie, ni appliquée. Sans pour autant faire remonter de problèmes particuliers sur le terrain (dans le cas des eaux naturelles). Il parait important de simplifier les choses pour tout le monde, sans probabilité de risques sanitaires, dans le cas de l’utilisation d’eaux naturelles dans les maisons individuelles. Dans le sens où l’usage lave-linge est la seule interface problématique entre les différents usages, qualités et déclarations. Nous demandons à autoriser l’usage d’eaux naturelles pour les laves linges sans cadre expérimental et hors critères qualité d’eau applicable, sous condition d’un traitement préalable minimum par filtration sédimentaire 25 micron maximum et d’un traitement au charbon actif granulé.

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