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#donaldtrump #Trump #Trump2024 #Pennsylvania #TrumpShot #lejournaldepersonne La balle a effleuré le héros sans tuer le salaud. Trump est en passe de devenir un héros. Héros pour un monde divisé en deux : d’un côté les sots et de l’autre les puceaux. Les sots sont les plus nombreux, c’est sur eux que le salaud compte pour allumer ou éteindre le feu et se faire passer pour un hé l’a échappé belle, mais cela n’enlève rien à son impact criminel : il a enflammé le Capitole et proclamé Jérusalem, capitale pour Israël. Il n’est pas un héros, loin s’en faut ! Mais bel et bien un salaud. Et quitte à décevoir ses partisans, je n’irai pas jusqu’à dire que Dieu l’a épargné. Il faut être niais pour le croire. Je dirais que Dieu n’est pas pressé de le voir. Il n’a pas encore ou pas assez purgé sa peine ici-bas avant de la purger là-haut ou là-bas. Il va devoir le faire en cessant de prendre ses déboires pour des victoires et ses escroqueries pour des titres de gloire. Pour lui, ce sera l’enfer dépeint par Dante. Droit dans le mur, c’est ce qui est promis au salaud, qui n’a même pas le droit de passer par la case : purgatoire. Qu’il continue à pêcher en prêchant ou à prêcher en péchant, Dieu seul sait jusqu’à quel point il se ment. Point de Salut pour ce salaud, mais juste un répit qui ne signifie rien d’autre que le dépit de Dieu. Si Trump était une belle âme, il aurait dit : « ce n’est pas moi, c’est Deus qui est invectus » et en voyant gicler le sang de son oreille « que Dieu bénisse l’Amérique et son oseille ! ».
