#ghaza #palestine #kaïsSaïed #Tunisie #lejournaldepersonne « Ghaza après toi, il n’y aura pas d’après » dit Kaïs Saïed à Ghaza. C’est la profession de foi la plus sublime qui soit. Encore plus sublime que la confession de Kaïs à Leïla. Cela en dit long sur son attachement à une cause qui met la Justice au-dessus de toutes choses. Parce que l’homme de droit qu’il est, sait qu’il n’y a pas plus dur, ni plus pur comme service que celui de la Justice. Il faut prendre la Palestine aux Israéliens et la rendre aux Palestiniens. Celui qui a encore du mal à le comprendre n’a rien compris à rien. Parce qu’il n‘y a point d’autre cause à défendre que la cause du bien et pas d’autre bien à défendre que celui des Palestiniens… Non parce qu’il fait partie des leurs ou qu’ils font partie des siens, mais à cause du lien sacré qu’il a avec Dieu… avec le dieu de La Justice ou avec la Justice de Dieu
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