Nous avancions, colline après colline, Puis, nous cassâmes un essieu ; Nous nous extirpâmes à croupetons, l’uniforme voletant Petits soldats de l’amour – yeux bleus... Comme cela leur pris, ils nous emmenèrent par d’étranges sentiers Nous emmenèrent, nous amenèrent et, alors que je regardai, Je vis un oiseau pâle aux yeux damnés; Chante-moi donc, l’oiseau, Peut être que je vais danser... Chante-moi l’oiseau, est ce doux à l’âme d’être sans corps ? Est-ce aisé d’être un oiseau, mais sans chanter
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