Guest
A la rentrée, les français seront confrontés à une révolution anti-cléricale radicale : - EUVABECO, l'identité numérique vaccinale comme sésame / passeport européen, - un nouveau concile de l'Eglise catholique dévastateur pour la foi et un voyage de l'anti-pape François en Orient, - un bouleversement à l'école lié à la vaccination et à l'enseignement à domicile, - la révélation de la vérité sur le couple homosexuel Emmanuel Rothschild-Macron / transsexuel Jean Michel Trogneux. Tous ces points de la révolte anti-traditionnelle contre le clergé et l'autorité de l'Etat / la Couronne ont été soigneusement préparés depuis des siècles par la communauté amorrite pour faire émerger la synagogue / église de satan avec sa fausse religion extraterrestre, sa mutation génétique dirigée et ses acteurs provocateurs devant mener au chaos précédant le nouvel ordre luciférien. Dans les années 90, mon maître d'école de cinéma Alain Jessua (juif apostat) est devenu mon initiateur aux arcanes les plus glauques du monde des Amorrites, des mutants démoniaques et criminels : - l'inversion satanique (La vie à l'envers), - le conditionnement par l'image (Jeu de massacre), - le rajeunissement avec le sang des enfants victimes de pédophilie satanique (Traitement de choc), - la constitution d'une élite de l'ombre de gouvernants lucifériens invisibles agissant derrière le capitalisme et le communisme (Armaguedon - Louis Carrier cherche à se venger de la société en défiant la police par des menaces terroristes. La police fait appel à un psychiatre pour en venir à bout), - l'occupation de la population désacralisée et désocialisée par les animaux de compagnie (Les chiens), - le MK ULTRA (Alain Durieux, dépressif, consulte le docteur Valois qui lui prescrit une nouvelle thérapie née de ses recherches : le « flashage ». Il s'agit, pour tout résumer, de « couper le nerf de l'émotion »), - la débilité croissante des peuples sous hypnose de l'ingénierie sociale devenant des zombies (Frankenstein 90), - le pacte avec Satan de certains artistes (Les couleurs du diable - Un jeune peintre talentueux rêve de gloire. Un homme la lui promet en échange de son talent et de son âme). De ce cinéaste souvent visionnaire, Jean Tulard, dans son Dictionnaire du Cinéma, écrit : « Il tourne peu mais bien. Il propose un cinéma où il aborde les problèmes de notre temps et lance des cris d’alarme » (Wikipedia). JE DÉDIE CETTE VIDÉO À ALAIN JESSUA ET SON FILS FRÉDÉRIC. Sur Zaza et Amanda :
