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Soit les laboratoires du monde entier deviennent “complotistes“, soit il existe un réel problème avec les injections COVID-19 ? «Les produits Pfizer et Moderna se sont révélés, sur 3 continents différents, dans 5 nations différentes et analysés par 6 laboratoires différents, comme étant grossièrement contaminés par de l’ADN synthétique, avec un moyen de pénétrer dans le noyau cellulaire, de modifier notre ADN chromosomique humain et de s’intégrer à notre ADN chromosomique humain. Les conséquences pourraient être terribles, si elles ne l’ont pas déjà été.» Contrairement à la France où le gouvernement censure et décrédibilise tous scientifiques à la pensée non conforme à la doxa, empêchant de prendre rapidement en compte la réalité de la nocivité des injections COVID-19, ainsi que les très nombreuses victimes d’effets indésirables graves laissées à l’abandon, des auditions ont lieu partout ailleurs. Le 31 janvier 2024 au Sénat australien, Commission des affaires juridiques et constitutionnelles, les australiens réclament une commission royale. Julian Gillespie, juriste et ancien avocat : «AstraZeneca a fait figurer clairement la mention “organisme génétiquement modifié“… le régulateur australien du génie génétique, Raj Bhula, a admis lors d’une audition au Sénat le 26 octobre 2023, que les produits de Pfizer et de Moderna sont des OGM. Des rapports font état de milliers de décès liés au vaccin COVID-19 et de surmortalités non liées au COVID.»
