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La monnaie française a traversé de nombreuses transformations, symbolisant à chaque étape la souveraineté nationale. Du franc germinal introduit en 1803 au nouveau franc lancé en 1960 par Charles de Gaulle, chaque changement reflétait les besoins économiques et politiques de l’époque. En 1999, la France a adopté l’euro comme monnaie scripturale et, en 2002, l’euro est devenu la monnaie courante, remplaçant le franc. Cette transition, dictée en partie par la parité avec le deutschemark, a souvent été perçue comme un sacrifice de la compétitivité française au profit de l’économie allemande, suscitant critiques et débats sur une prétendue perte de contrôle économique au profit de Bruxelles et Berlin. Le débat sur la sortie de l’euro divise profondément. Les partisans du retour au franc voient dans cette démarche une chance de restaurer une souveraineté nationale, en s’émancipant des contraintes budgétaires imposées par l’Union européenne. En revanche, les opposants redoutent les effets d’une telle décision, comme une instabilité économique accrue, une inflation incontrôlable et une perte de confiance des investisseurs. Sortir de l’euro entraînerait presque inévitablement une sortie de l’Union européenne, nécessitant une refonte complète des accords économiques, douaniers et politiques reliant la France à ses partenaires européens. Une telle perspective effraie une partie des Français, nourris par des années de discours alarmistes sur les risques d’isolement et de chaos économique. Pourtant, cette rupture pourrait aussi représenter une opportunité historique. Reprendre le contrôle de la monnaie permettrait à la France de mener des politiques monétaires et industrielles en phase avec ses propres intérêts, favorisant la relocalisation d’entreprises et stimulant l’emploi national. Enfin, les débats sur la monnaie cachent souvent des réalités économiques négligées : la France, en tant que contributeur net au budget européen, se trouve dans une position où elle finance sans pouvoir réellement influencer. Une sortie de l’euro pourrait être le choc nécessaire pour un renouveau industriel et économique, redonnant à la France la capacité de se redéfinir sur la scène internationale. En misant sur son indépendance économique et en priorisant ses industries stratégiques, la France pourrait non seulement retrouver sa souveraineté, mais aussi s’engager dans une nouvelle ère de prospérité, libérée des contraintes imposées par Bruxelles. SOYEZ ACTEUR LES AMIS ! VOICI 2 CHOSES SIMPLES À FAIRE MAINTENANT : 👍 Mettez un pouce vers le haut c'est vital : un grand merci pour ce soutien inestimable ! 🔔 Saviez-vous que 45,2% d'entre vous ne sont toujours pas abonnés à cette chaîne YouTube ? Cliquez ici : ⬇▬▬▬▬▬⬇ REVUE CONFIDENTIELLE : 🔴 Recevez la nouvelle revue mensuelle directement dans votre boite aux lettres : ▬▬▬▬▬▬▬ ÉPARGNE ET PATRIMOINE : 👀 Moins de 3000€ d’épargne ? Récupérez gratuitement la Stratégie Anti CBDC : ☎️ Plus de 3000€ d'épargne ? Prenez rapidement rdv au téléphone pour débancariser votre argent avec profit : ▬▬▬▬▬▬▬ POUR NOUS SOUTENIR : 💗 Faire un DON pour nous aider dans le combat : on a besoin de vous ! ▬▬▬▬▬▬▬ LES RÉSEAUX : Twitter : Instagram : Telegram : Discord : ▬▬▬▬▬▬▬ LES CHAPITRES DE LA VIDÉO : 00:00:00 Introduction Musique : Mozart - Lacrimosa (From the Requiem Mass in D Minor), Licence achetée à Leo Symphony Orchestra, Numéro de la piste : 424634 #frexit #unioneuropeenne #euro
