Alors que les maires de Nantes et Strasbourg pleurent sur les économies à faire, les dépenses controversées continuent de pleuvoir. Entre un potager urbain à 300 000 euros inadapté à un quartier miné par la délinquance et 2,5 millions versés à des organisations islamistes, les priorités budgétaires de nos élus soulèvent de nombreuses questions. Dans un contexte où les crèches ferment faute de moyens, il est légitime de s'interroger : pourquoi ces subventions faramineuses continuent-elles à être accordées? Clique ici pour découvrir la boutique et soutenir la chaîne avec nos produits dérivés ! @dmeendirect/store ou Sources:
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