FRANCE ÉTERNELLE Du fond des âges, en ces paysages toujours verts Là où les brumes de l'empire de marbre se sont dissipées Venus de l'orient, par delà les fleuves, ces fils de l'épée Francs et hommes libres, paysans rudes aux regards fiers Dans l'ombre de la croix et de ses monastères Des forêts envahissent un monde dévasté Croyants et moines, manants ou lettrés Murmurent leurs prières pour le salut des âmes De durs labeurs, bénis par de rouges soleils d'été Quand tous les hommes, fiers, fauchent les grands champs de blés Partout la joie, le vin, les rires des enfants De fières cathédrales aux toits étincelants La prêtresse enfant, sous son pavois blanc La mère des batailles, toi qui pris Orleans A jamais Courage, à jamais Honneur Dans les flammes de Rouen, devint notre Soeur Ecrin des Arts dans
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