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Les conflits au Proche-Orient mettent en lumière l’influence continue des États-Unis et de l’OTAN, dont les interventions, présentées sous le prétexte de maintenir la paix et la démocratie, dissimulent des volontés hégémoniques. Ces puissances cherchent à sécuriser l’accès aux vastes ressources énergétiques de la région, qui détient 48 % des réserves mondiales de pétrole, tout en contenant l’influence croissante de la Russie et de la Chine. Depuis l’invasion de l’Irak en 2003, les États-Unis maintiennent une présence militaire importante, avec environ 60 000 soldats encore stationnés dans la région, et dépensent chaque année des milliards pour leurs opérations. La région est également convoitée pour ses ressources énergétiques colossales qui attirent les grandes puissances économiques. La Chine, avec son initiative de la “Nouvelle Route de la
