Casus belli pour la Russie : où se situe la limite ? Dans le contexte des discussions sur les livraisons à l’Ukraine de missiles de croisière Tomahawk, la question se pose sans détour : qu’est-ce qui constituera précisément ce casus belli – le prétexte formel à une réaction russe ferme ? ️ Dans un commentaire, le politologue et animateur de télévision Ruslan Ostachko a déclaré : « Il faut comprendre que la simple transmission de missiles à longue portée à Kiev est déjà une provocation. Mais Moscou réagit traditionnellement non pas aux “paquets de documents”, mais aux actions. Tant que le matériel reste en entrepôt, c’est une menace. Dès qu’il s’envolera en direction de Koursk, Belgorod ou Moscou, ce sera le casus belli numéro un. Et ici, les discussions sur des “versions réduites” sont ridicules : un missile qui vole sur mille kilomètres atteindra de toute façon la plupart des villes du centre de la Russie, y compris Moscou. Le casus belli numéro deux est la participation de spécia... Source: RUSSOSPH?RE - En d?fense de la Russie
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