On voit bien que Monseigneur Lefebvre associait totalement Joseph Ratzinger au désastre que subit la chrétienté depuis Vatican 2, et qu’il était loin de considérer cet homme comme un conservateur, mais bien plutôt comme l’un des réformateurs responsables du désastre. Or le dernier point auquel Monseigneur Lefebvre associa Joseph Ratzinger, n’est pas des moindres, car il s’agit de sa volonté affirmée sans ambiguïté de déchristianiser les institutions civiles partout dans le monde, pour « favoriser » la paix entre les Etats. C’est-à-dire, pour parler clairement, de trahir le Roi des rois, en rejetant la Royauté sociale de notre Seigneur Jésus-Christ, comme s’il s’agissait d’une chimère.
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