Émilie Aubry s’entretient avec Sylvie Kauffmann, éditorialiste et grand reporter au journal “Le Monde“. Celle-ci revient en détails sur ces années durant lesquelles certains pays européens ont laissé Vladimir Poutine aller toujours un peu plus loin, de la Géorgie à la Crimée, jusqu'à l'invasion russe de l'Ukraine. S'ils font presque tous aujourd’hui front commun contre Vladimir Poutine, ces pays ont longtemps refusé de croire aux ambitions impérialistes de Vladimir Poutine. Alternant séduction des élites européennes et rapports de force, le maître du Kremlin a placé dans la dépendance de la Russie, l'Allemagne (gaz), le Royaume-Uni (Finance) et la France (enjeux sécuritaires). Comment Poutine séduit-il le monde occidental en 2001 ? À quel moment change-t-il de ton ? Quelles sont alors les réactions des Européens et pourquoi certains ferment-ils les yeux face à
Hide player controls
Hide resume playing