Texte : ère_marin «Le Cimetière Marin est ma pièce personnelle. Je n'y ai mis que ce que je suis. Ses obscurités sont les miennes. La lumière qu'il peut contenir est celle même que j'ai vue en naissant». (Paul Valéry) Cimetière marin - Cimetière de l'être La mer, gardienne du silence intérieur, de la méditation sur l'être. Lyrisme Rythme Roc Mystère Passages obscurs ou ambigus. Chacun apporte un sens, qui n'est jamais ni tout à fait le même ni tout à fait un autre. 'Ce fut l'intention de faire qui a voulu ce que j'ai dit' (Valéry). 'Expliquer le poème, c'est le détruire'. Dédicace : À tous ceux et celles qui admirent le poème, même sans trop le comprendre. Un monument. Un temple qui repose sur ses 24 colonnes. Un poème que j'admire depuis toujours et je ne n'osais faire. Il aura fallu l'aimable et respectueuse demande de l'artiste Gérard Paul. J'offre la lecture de ce poème comme une invitation à écouter ces éléments sensibles que sont les sons et les silences. Valéry ne s'est-il pas évertué à dire que le poème est son et sens. Et que le sens ne doit pas étouffer le son ? Illustration : Cimetière marin, Sète. Photo : Pierre Pouliquin (21 juillet 2008). Sous licence CC BY-NC 2.0 Pour une écoute plurielle : —Des extraits du poème dits par l'auteur Paul Valéry ; —le poème dit par Paul A. Mankin, un des fondateurs du département de Littérature comparée à l'Université du Massachussetts. Au début des années 1960, il a réalisé un certain nombre d'enregistrements dont le disque '20th Century French Poetry'. —le poème lu par Jean Claude Carrière. Poème en anglais – traduction de C. Day Lewis. ~cooneys/poems/fr/
Hide player controls
Hide resume playing