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Alors que l'OTAN a été démilitarisée dans la guerre par procuration en Ukraine et que les États-Unis sont déjà embourbés dans un autre théâtre de guerre en Asie de l'Ouest, les néoconservateurs ne renonceront pas à leur plus grande obsession : la grande guerre de confrontation avec la Chine. Bien sûr, ce sera encore une autre guerre par procuration. Après tout, l'Empire a appris à dévaster non seulement ses ennemis mais aussi ses alliés, les liant économiquement à la mère patrie américaine pour encore quelques décennies à travers des pièges de la dette et la propriété d'entreprises américaines. Mais quelle est exactement l'approche de Pékin dans tout cela ? La Chine ne reste pas les bras croisés pendant que les États-Unis préparent leur guerre en Asie. Dans cet épisode, je parle à deux grands sinologues : la Professeure Dr. Susanne Weigelin-Schwiedrzik, de l'Université de Vienne, et le Professeur Warwick Powell de l'Université du Queensland. Ensemble, nous explorons comment Pékin aborde la nouvelle multipolarité et les provocations incessantes de l'autre côté du Pacifique. Malheureusement, la folie néoconservatrice et la soif de sang ne connaissent pas de limites et les peuples capturés par le récit néoconservateur sont prêts à suivre. Tout comme l'Ukraine l'a été. Ainsi, le manuel européen est ajusté pour s'adapter au cas asiatique. Alors que les États-Unis essaient tout pour préparer leur guerre par procuration avec la Chine, la question est de savoir où cela se produira. Sur les îles de Taïwan, du Japon ou des Philippines ? Qui sera le premier à être pris dans une spirale d'escalade se terminant par des bombes et des dévastations ? Bien que Taïwan semble le plus probable, cela pourrait tout aussi bien être les Philippines où une “satanée bêtise“ poussera l'Asie de l'Est au bord du gouffre et dans le chaos que les néoconservateurs aiment tant. Support us on Patreon: Original Video: Produced by: Neutrality Studies Originally Published on: 2024-09-08 Translations by: Disclaimer: Read by A.I. Voices. Auto-translated. Translation published with kind permission of Neutrality Studies.
