Substack ici : Substack ici : Le thème principal de cette capsule étant la Censure et son arsenal juridique, Bertrand aborde la censure légale, économique et celle exercée par les réseaux sociaux. Il mentionne également le shadow-banning, une forme de censure high-tech pratiquée par les plateformes de réseaux sociaux et critique la montée d’un arsenal juridique et répressif qui empêche les acteurs de lutter à armes égales. Sont aussi abordées l’accessibilité de l’information dans le monde d’aujourd’hui, en remerciant les réseaux sociaux et les plateformes comme YouTube, la question de la liberté d’expression et de la recherche historique en France, en soulignant l’auto-censure comme une forme de censure très efficace. Bertrand explique pourquoi il n’essaie pas de monétiser sa chaîne YouTube, car cela impliquerait d’accepter une censure plus forte imposée par les annonceurs Enfin, il parle de la répétition du même narratif lors de chaque nouvelle crise, et comment cela contribue à la censure et à la limitation du débat public. Il souligne l’absurdité de certaines situations et la difficulté de croire les versions officielles des événements, critique le rôle des médias dans le lavage de cerveau du public, en soulignant l’importance de l’accès à l’information. Il exprime la peur que ressentent certaines personnes de s’exprimer librement sur des questions sensibles, craignant d’être ciblées par des fact-checkers et de subir des conséquences négatives. Les fact-checkers sont souvent financés par l’État ou de grands groupes avec des objectifs politiques précis, avec des conflits d’intérêts et un manque de légitimité et d’autonomie. Bertrand aborde aussi la question de l’étiquetage et de l’exclusion médiatique, ceux qui sortent des sentiers battus ne sont pas invités sur les plateaux de télévision et sont souvent ciblés par l’inquisition médiatique, de la liberté d’expression et du rôle des lanceurs d’alerte et du journalisme citoyen. Mention de Julian Assange et critique de la façon dont il est traité malgré la divulgation d’informations importantes. Bertrand parle des scandales politiques en France, en critiquant le fait que les ministres poursuivis devant la Cour de justice de la République ne démissionnent pas, bénéficiant de la connivence et la solidarité de caste qui existent au sein du gouvernement. Il fait une comparaison entre les guerres du passé, où les civils étaient généralement épargnés, et les conflits modernes qui touchent souvent les civils. Il mentionne la conquête de l’Ouest aux États-Unis et les conséquences dévastatrices pour les peuples autochtones. Il discute de la réaction naturelle de vouloir se venger après avoir subi une atrocité, mais souligne que la société doit aider les individus à dépasser ces sentiments. Il critique la façon dont les médias justifient la vengeance et la défense, et comment cela peut conduire à une escalade de la violence. Il mentionne également des incidents spécifiques, comme l’attentat terroriste à Annecy et l’incendie de Notre-Dame, et s’interroge sur le suivi de ces affaires comme celle des contrats de vaccination en questionnant la décision des États d’acheter et de contraindre à l’injection de millions de personnes, malgré l’absence de garantie d’efficacité et d’essais cliniques sérieux. Il mentionne des scandales financiers et la corruption, en critiquant le système actuel. Il aborde également les conflits, celui en Ukraine, critiquant l’action de l’Occident et de l’OTAN face à la Russie, la situation à Gaza, soulignant les conditions de vie difficiles et les conséquences des conflits répétés. Il critique également les leaders du Hamas et leur mode de vie luxueux au Qatar, parle des conflits au Moyen-Orient, en mentionnant le discours de Nasrallah, le leader du Hezbollah libanais, et la situation à Gaza. Bertrand mentionne que la plupart des victimes en Israël du 7 octobre sont tombées sous le coup des balles amies de l’armée israélienne lors de l’intervention pour stopper les terroristes du Hamas et évoque un faisceau d’indices qui crée un doute certain quant à des complicités très fortes qui auraient pu avoir lieu et finalement ouvrir grand les portes à quelques dizaines ou centaines de terroristes du Hamas. Finalement, Bertrand décrit son approche de l’analyse, et parle de sa passion pour les jeux de stratégie comme les échecs et le go, et comment ils l’aident à comprendre l’importance de la vérité et de la stratégie. Il évoque l’importance de l’honnêteté dans les jeux de stratégie comme les échecs, où tout est visible et où l’on ne peut pas se mentir à soi-même. Mention des raisons de la creation d’une newsletter hebdo. “La vérité est une flèche acérée couverte de miel, qui peut faire grandir ceux qui la reçoivent”.
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