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Après l'affaire Quentin Bataillon qui à infligé une lourde humiliation au groupe présidentiel en allant critiquer la commission dont il était le président chez Hanouna lui même auditionné dans le cadre des autorisation de diffusion et de la régulation par l'ARCOM. c'est au tour du président lui même de subir les conséquence de ses propos avec le vote hier des prix planchers par la majorité de gauche. Celle ci s'en est donné a cœur joie pour critiquer le président de la république Emmanuel Macron qui s’était approprié récemment la proposition du groupe LFI après avoir promis de nombreuses avancée aux agriculteurs dont aucune n'a finalement été mis en place jusqu’à maintenant selon les dire de plusieurs fédérations. Toutes ces promesses n'ont été finalement que des mots pour calmer la grogne et les blocages alors que la situation continue de se dégrader pour ce secteur avec l'application du CETA.
