⚠ Regardez la vidéo jusqu'à la fin! Vous ne le regretterez pas Suivez notre chaîne @motsetvie pour plus de vidéos Les trois dernières minutes du film nous plongent dans un bonheur incommensurable. ❤️❤️❤️ Dans une scène marquante, nous entendons : « Alors, j’ai choisi un champagne distingué, qui a de la personnalité, et beaucoup de finesse, justement. (…) Le contraire de vous, justement... 🎬 Valentine, une jeune kinésithérapeute dynamique, célèbre ses fiançailles dans une majestueuse demeure historique qui sert de toile de fond à notre histoire. 🎬 La future mariée, étourdissante de beauté, dégage une aura de charme et de délicatesse. Cependant, son fiancé, Paul-Xavier, un jeune cadre énergique, est l'archétype de l'arrogance, un rustre qui semble jouir du malaise de ceux qui l'entourent. 🎬 L'instant du dessert arrive. L'odieux personnage et sa mère hautaine regrettent la présence d'amandes dans le gâteau. C'est alors que surgit Arditi, ou plutôt Louis-Régis Dupont-Moreau (!), qui, en sommelier improvisé pour l'occasion, introduit le champagne sélectionné pour accompagner le dessert. Il s'ensuit une tirade théâtrale pleine d'esprit, une cascade de bons mots... Voici un extrait de “Quelque chose a changé“ : Une histoire de PDG en déroute face à son conseil d'administration. Parti réfléchir le temps d'un week-end à la campagne, il va se trouver confronté à un véritable tournant. Et lorsque ce 'vieux loup' est incarné par l'immuable Pierre Arditi, l'oeuvre prend une dimension toute particulière. Une véritable pépite de la télévision, couronnée par une scène d'anthologie qui vous laissera sans voix. « Vous êtes un con… » “D’une espère rare, je le reconnais. Catégorie suprême, celle qui cumule le con malgré lui et le con satisfait de l’être. Il y a longtemps que je n’avais pas rencontré un mélange aussi réussi. Toutes mes félicitations. Etre con, heu, n’est pas vraiment gênant en soi, non, l’ennui c’est que les cons se sentent souvent obligés de le faire savoir. C’est l’usage intensif de la connerie qui est pénible. Alors vous, vous êtes du genre sans modération. Toujours volontaire, pas de répit, vous devez même assurer des permanences. Oui, vous savez, toutes les matières premières finiront par s’épuiser. Pour la connerie, aucun risque. Vous êtes là ! Vous. Et beaucoup d’autres. Votre force, c’est le nombre. Le vrai problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier. D’ailleurs, c’est pour ça que j’y ai renoncé. Vous devriez en faire autant, heu, renoncer à vos fiançailles, je veux dire, non pas parce que tout le monde fait semblant d’y croire, mais parce que vous êtes indigne de Valentine. » (Texte écrit par Jacques Santamaria, également réalisateur du téléfilm). Suivez notre chaîne @motsetvie pour plus de vidéos et visitez
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