Au soir du 29 mai 2005, au grand dam des merdias, qui n'avaient cessé d'annoncer la victoire des européistes, c'est un rejet très net du Traité constitutionnel européen, qui l'a emporté, avec près de 55% des votes. Une claque mémorable qui, après la trahison du choix du peuple par Sarkozy, en 2008, n'a pas empêché l'avènement de l'Union européenne. Un homme politique n'a pas accepté cet assujettissement à une entité européenne, qui vide la France de sa substance, le gaulliste souverainiste François Asselineau. Frexit, départ de l'OTAN, souveraineté monétaire, désengagement de l'OMS : Asselineau est Le candidat qui inquiète le plus le système. Celui qui veut redonner des couleurs vives à une France redevenue indépendante, au moment où le dangereux va-t-en-guerre Macron fait tout pour entraîner la France dans le désas
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