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La vidéo complète : 𝐃𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐦𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫𝐬 𝑂𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒́𝑒𝑠 ? Les assurances, qui fonctionnent sur le principe de la mutualisation des risques, ne parviennent plus à assurer certains risques dont la fréquence s'accélère. Jusqu'alors, elles transmettaient donc la patate chaude aux réassureurs (20 très gros acteurs dans le monde). Or, ces réassureurs eux-mêmes ne parviennent plus à assurer certains de ces risques, dont le risque climatique. A ce stade, ce sont les marchés financiers qui prennent le relai avec les Cat Bonds, des produits financiers très risqués (mais potentiellement lucratifs puisque rémunérés aux alentours de 16 %)...mais jusqu'à quand ? Des communes ne sont déjà plus assurées, c'est le cas de Guipry-Messac et une centaine d'autres, déjà. D'après un contact dans les assurances, ce ne sera bientôt plus des cas isolés. “Depuis le 1er janvier 2024, l'ensemble du parc immobilier de la commune de Guipry-Messac n'est plus assuré. Le toit d'une école qui s'envole, un dégât des eaux au complexe sportif, une branche qui casse des vitraux d'une église et c'est la collectivité qui devra entièrement payer la note.“ Avec nous travaillons sur la minimisation de ces risques par la préparation des populations à traverser des crises majeures. Nous les aidons à devenir des acteurs de la résilience. “𝐿𝑎 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑖𝑣𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑠'𝑎𝑡𝑡𝑎𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑢𝑥 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑝𝑢𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑏𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑖𝑑𝑎𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠.“ 𝕃𝕠𝕚 𝕟° 𝟚𝟘𝟘𝟜-𝟠𝟙𝟙 𝕕𝕖 𝕞𝕠𝕕𝕖𝕣𝕟𝕚𝕤𝕒𝕥𝕚𝕠𝕟 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝕤𝕖́𝕔𝕦𝕣𝕚𝕥𝕖́ 𝕔𝕚𝕧𝕚𝕝𝕖
